25 mai 2014

Pas evident de savoir ou je vais...

En rapport a ce que j'ecrivais sur mon retour a Vancouver, et le fait que cela soit naturel, que je m'y sente chez moi, je n'avais jamais realise auparavant dans un hall de depart, que j'aurais pu ne pas savoir ou j'allais. Je m'explique: au regard de tous les autres passagers, je n'aurais pu dire ou j'allais si cela avait ete une surprise. Lorsque je prenais mes vols retours vers Goteborg ou quand j'ai voyage au Vietnam ou bien au Maroc ou encore vers l'Italy recemment, il y a des traits communs: la couleur des cheveux et le gout pour la mode apparent pour les suedois/scandinaves, les traits physiques pour les Vietnamiens ou Marocains, le style vestimentaire egalement (dans un autre genre) pour les italiens, mais la en l'occurence dans le hall de depart (ici, Frankfort), difficile de deviner. Il y a bien quelques jeans mal-coupes, des baskets, des casquettes de base-ball qui indiquent une forte possibilite que c'est l'Amerique du Nord mais neanmoins, rien qui laisse penser "sans aucun doute". Et cela, parce qu'il y a justement un grand mix: des caucasiens, des asiatiques, des indo-asiatiques. Dans ce hall, qu'ils soient canadiens/vancouverois de souche, immigres par rapprochement familial ou volontaires comme moi,  j'entends parler espagnol, coreen, hindou et un peu d'anglais tout de meme. Et c'est bien cela qui definit Vancouver, c'est l'epitome de ce cosmopolitanisme qui se manifeste partout.


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